Javier Bejarano
Doctorant en linguistique- didactique des langues avec une maîtrise en linguistique appliquée. Présentement, je travaille en tant qu'enseignant d'espagnol dans l'École de Langues de l'Université et dans plusieurs projets de recherche avec des publications, portant sur les perceptions des québécois face à la performance à l'oral des immigrants allophones. La Bourse d’excellence du Département de langues, linguistique et traduction – Doctorat me permettra de me concentrer l'été sur la rédaction de la discussion et les résultats quantitatifs de ma recherche.
Étudiant au Doctorat en linguistique - didactique des langues
Rita Belisle
Ma mère franco-ontarienne et mon père bibliothécaire, amateurs d'archives et de musique, ont transmis à leurs neuf enfants un vaste répertoire de chansons traditionnelles que nous fredonnions en toute occasion. Des études de piano, d'orgue, un baccalauréat en Études classiques (1990), puis une maîtrise et un début de doctorat en études médiévales (1995) à l'Université de Montréal ont aiguisé mon intérêt pour la recherche. Parallèlement agricultrice et artisane (travaux d’aiguille), le patrimoine est omniprésent dans ma nombreuse famille. Après un diplôme d'études approfondies en civilisation médiévale à l'université de Poitiers (1997, France), un retour aux études à l'Université Laval me conduit d’abord au baccalauréat en enseignement de la musique (2014). Durant mes deux derniers stages, j'ai eu l'occasion d'enseigner des musiques traditionnelles d'ici et d'ailleurs, ce qui a orienté mon sujet de recherche pour la maîtrise et le doctorat : la pédagogie des musiques traditionnelles d'ici et d'ailleurs dans les écoles primaires du Québec. Sous la codirection de Valerie Peters (éducation musicale) et de Martine Roberge (ethnologie et patrimoine), j'ai pu mener mon projet à terme en décrivant les perceptions, les motivations et les pratiques d'enseignants de musique qui présentent ce type de répertoire, les forces et les lacunes des ressources pédagogiques et des formations. La bourse Simonne-Voyer va me permettre, entre autres, de suivre deux formations : un camp de violon traditionnel et une série de cours donnés par l'organisme World Music Pedagogy sur les musiques du monde. Cela m’aidera à élaborer un séminaire en musiques traditionnelles pour la préparation duquel j’ai été embauchée par l’Université. La bourse me donnera les moyens d’aller rencontrer des porteurs de culture et consulter des archives pour faire découvrir quelques joyaux de cet immense patrimoine aux élèves du primaire.
Étudiante au Doctorat en musique, codirection en ethnologie et patrimoine
Anne-Julie Bilodeau
Je m'appelle Anne-Julie et j'étudie en archéologie. Passionnée d'histoire et de découverte, je m'intéresse particulièrement aux nations autochtones d'Amérique du Nord. Je désire faire découvrir le patrimoine québécois au grand public et contribuer à la réconciliation avec les peuples autochtones. J'adore aussi voyager et lire. La bourse m'a grandement aidée à couvrir les frais associés à mon appartement et m'a ainsi permis de me concentrer pleinement sur mes études.
Étudiante au Baccalauréat en archéologie
Claudia Blouin
Je suis une artiste et chercheuse en arts de la scène, nouvellement étudiante au doctorat en Littérature et arts de la scène et de l’écran. Suivant un certificat en interprétation théâtrale (UQTR), un baccalauréat en théâtre et une maîtrise en littérature et arts de la scène et de l'écran (U. Laval), j'ai fondé en 2019, à Québec, « La compagnie Doute » qui se spécialise dans le théâtre multidisciplinaire. Dans le cadre de ma maîtrise, je me suis attaquée à la question des métissages entre danse et théâtre, à travers le spectre de la musique. Mon projet de recherche-création m’a amenée à scénariser et chorégraphier deux séquences de danse théâtralisée intitulées «De fil en fils» et «Fuis-moi je te suis...» (2016). Je poursuis ma réflexion sur les thématiques interdisciplinaires autant dans ma pratique artistique qu'à travers mon projet de doctorat. Celui-ci porte sur les dynamiques de transformation du corps sur la scène contemporaine, ses devenirs deleuziens, dans le contexte d'un processus de création. La bourse d'excellence du Département de littérature, théâtre et cinéma contribue à me permettre, en cette première année de retour aux études, de me concentrer à temps plein sur l'élaboration de mon projet de thèse, de m’impliquer dans mon association étudiante ainsi que de bonifier mes dossiers de demande de financement aux organismes subventionnaires.
Étudiante au Doctorat en littérature et arts de la scène et de l'écran
Joëlle Breton
J’ai toujours éprouvé de la curiosité pour de nombreuses disciplines, et le choix d’une spécialisation au niveau universitaire était loin d’être une évidence pour moi. J’ai choisi les sciences du langage à l’Université Laval après une année sabbatique, en 2016. Je revenais de plusieurs mois de voyages en solitaire, et je ne savais pas si cette discipline allait m’accrocher. J’ai rapidement découvert une passion pour la linguistique, en particulier pour la lexicographie et pour la lexicologie. J’ai donc sauté sur l’occasion de faire une maîtrise pour approfondir mes connaissances dans ces deux domaines et mes aptitudes en recherche. Au fil de mon parcours, j’ai eu la chance de participer à des séminaires stimulants, qui m’ont motivée à donner le meilleur de moi-même, malgré le contexte pandémique et la mise sur pause forcée de mes objectifs sportifs et de certaines de mes implications communautaires. L’obtention de cette bourse est pour moi un grand honneur. Sur papier, elle récompense mon excellence académique continue, mais j’y vois aussi une reconnaissance de la persévérance et du travail personnel qui m’ont permis de maintenir mes résultats. Cette bourse sera réinvestie dans mon avenir et m’aidera à financer mes nombreux projets académiques et personnels.
Étudiante à la Maîtrise en linguistique avec mémoire
Élodie Cossette-Plamondon
Candidate à la maîtrise en études littéraires, profil création, je parcours les méandres de l’écrit afin d’explorer le pouvoir du langage de s’approprier le réel et de le transcender. Au fil des ans, ma pratique d’écriture m’a amenée à publier poèmes et nouvelles au CEULa, au Pied, au Cercle des auteurs de la relève ainsi qu’aux Éditions L’Hybride, de même qu’à rédiger un article pour la revue Captures : Figures, théories et pratiques de l’imaginaire. Ayant à cœur de participer à la vitalité du milieu culturel québécois, j’ai lancé avec mes collègues une toute nouvelle revue littéraire en ligne, Les Éphélides, où j’occupe le poste de codirectrice éditoriale. Grâce à ce projet, j’accomplis un désir qui m’habite, soit promouvoir la littérature contemporaine d’ici et les nombreuses tonalités de plumes qui la composent. Depuis l’obtention de la bourse Jean-Sébastien-Pontbriand, plusieurs ouvrages littéraires et de la théorie de la création ont rejoint les tablettes de ma bibliothèque. Étant directement liés à mon sujet de mémoire, ces livres que j’ai acquis grâce à cette généreuse donation ont fait surgir des idées novatrices et continuent de m’inspirer. En bref, cette reconnaissance pour ma suite poétique Fauve s’avère être bien plus qu’une aide monétaire puisqu’elle constitue une source de motivation puissante pour la poursuite de mes études.
Étudiante à la Maîtrise en études littéraires
Antoine Drouin
Je suis honoré d'être récipiendaire de la bourse d'excellence du Département de langues, linguistique et traduction. Cette forme de reconnaissance est la consécration des efforts soutenus que j'ai fournis tout au long de mon parcours scolaire et une incitation à continuer de me dépasser dans les projets qui m'attendent. Fort d'un DEC en musique du Campus Notre-Dame-de-Foy et d'un baccalauréat en sciences du langage de l'Université Laval, je suis présentement à la maitrise en linguistique avec mémoire. À l'université, je me suis donné le défi de viser l'excellence sans compromettre ma santé mentale. Notamment, j'ai fait de l'activité physique une pierre d'assise de ma réussite scolaire. C'est pourquoi je consacrerai une partie de la bourse à la pratique d'activités physiques et sportives. Au fil de mon cheminement universitaire, j'ai acquis une expérience inestimable qui me sert dans ma vie professionnelle et personnelle. En particulier, je suis maintenant en mesure d'agir en tenant compte de la valeur sociale de la langue française. Plus généralement, je peux prendre en considération le contexte social au moment d’interpréter des phénomènes.
Étudiant à la Maîtrise en linguistique avec mémoire
Alexandra Espin-Espinoza
J'ai commencé à m'intéresser au rôle de la communication dans les interventions de santé publique lors de plusieurs expériences professionnelles en Équateur, mon pays. J’ai décidé de revenir aux études pour en apprendre davantage sur les théories des changements de comportement et la communication pour la santé. Mon projet de recherche, qui porte sur les normes sociales liées à une alimentation saine, s'inspire de ce que j’ai pu observer dans mon parcours professionnel. Bien que je fusse consciente que plusieurs défis m’attendaient quand j’ai commencé le doctorat, jamais je n’aurais imaginé qu’une pandémie serait l'un d’eux. Recevoir ce prix a été une grande motivation pour moi, et il n'aurait pas pu arriver à un meilleur moment. En effet, j’ai dû passer mes deux examens doctoraux lors d’une année particulièrement difficile. Savoir que mes efforts ont été reconnus m’a fait me sentir énormément encouragée. Le soutien moral a été sans doute le principal service que cette reconnaissance m'a rendu, mais j’étais aussi très contente de pouvoir m’en servir pour payer une partie des droits de scolarité à l’automne 2020. Merci infiniment!
Étudiante au Doctorat en communication publique
Andréanne Fortin
Je m'appelle Andréanne Fortin et j'étudie à la maîtrise en communication publique. Mon projet de mémoire s’inscrit en rédactologie, une discipline toute jeune qui étudie la pratique de la rédaction professionnelle sur les plans de la production et de la réception des écrits. En menant des tests utilisateurs auprès d’adultes considérés comme de faibles lecteurs, ma recherche vise à évaluer la clarté et l’efficacité d’une lettre qui sera bientôt envoyée aux citoyens sanctionnés pour alcool au volant. Les résultats aideront l’administration publique à développer des communications mieux adaptées aux compétences en lecture de la population, plus spécifiquement lorsqu’elles s’adressent à des gens en situation de stress ou de vulnérabilité.
La bourse Charlotte-Lapointe de l'Association des femmes diplômées de Québec me permettra de mener à bien ma recherche pendant la session d'automne 2021. Merci infiniment à l'AFDU de me soutenir et de croire en mon projet.
Étudiante à la Maîtrise en communication publique
Alice Galibois-Lacombe
Je me nomme Alice Galibois-Lacombe. Je suis présentement étudiante au premier cycle en études internationales et langues modernes à l’Université Laval. C’est en 2018, lors d’un séjour en Espagne en tant que fille Au Pair, que je suis tombée en amour avec cette langue et depuis, je poursuis avec beaucoup d’intérêt mon apprentissage de la langue et de la culture espagnoles. Ayant pour objectif de travailler en droit international humanitaire, la maîtrise de cette langue représente un atout majeur pour mon futur emploi. Le plurilinguisme est une aptitude considérable pour œuvrer au sein des relations internationales.
Dans le cadre de mon programme d’études, j’apprends actuellement la langue espagnole. Malheureusement, mon prochain programme ne m’offrira pas la possibilité de suivre des cours d’espagnol. Malgré cela, j’ai tout de même l’intention de poursuivre mon apprentissage du castillan à l’École de langues de l’Université Laval. Cet hiver, j’ai eu l’honneur de recevoir la bourse À la mémoire de Suzanne Parent, qui m’a été attribuée par le comité de l’École de langues de l’Université Laval. Il va sans dire que cette contribution financière allègera considérablement les coûts liés à la réalisation de mon projet d’apprentissage. J’en suis très reconnaissante.
Étudiante au Baccalauréat intégré en études internationales et langues modernes
Sara Garneau
Étudiante au doctorat en création littéraire à L'Université Laval, je m'intéresse au motif de l'extase dans la littérature québécoise. Financée par le CRSH, j'ai également complété un mémoire de recherche-création. J'y questionnais la relation entre l’écriture et la résolution du deuil. Depuis 2019, j'assume un poste d’adjointe à la rédaction pour la revue Études littéraires. Je suis aussi directrice administrative du Crachoir de Flaubert et chargée du projet des auteures et des auteurs en résidence. En parallèle, je travaille comme intervenante sociale au Centre de crise de Québec. Mes textes ont été publiés dans les revues Le Crachoir de Flaubert et Chameaux. En 2020, j'ai été récipiendaire de la Bourse de création littéraire (fiction narrative) Alain Beaulieu. Par ailleurs, j'ai collaboré avec Émilie Clepper qui a mis en musique plusieurs de mes textes sur son dernier album (Émilie Clepper et La grande Migration). Je suis actuellement en processus d'écriture d'un roman dans le cadre de ma thèse de recherche-création.
Ce financement m'a été utile pour alléger mon horaire de travail afin de me consacrer à mes études. Il me permet aussi de voyager sur la Côte-Nord, où se déroule l'action de mon roman.
Étudiante au Doctorat en études littéraires
Claudia Gauthier
Je suis étudiante à la maîtrise en études littéraires et j'ai fait mon baccalauréat en études littéraires également. C'est au cégep, alors que j'étudiais en sciences de la nature, que j'ai pris conscience de la portée du domaine de la littérature. Je reste toujours fascinée de voir comment la littérature est une porte d'entrée sur tous les sujets. La bourse que j'ai reçue m'a permis de compléter le paiement de ma session universitaire et de renouveler mon matériel informatique en cette session particulière.
Étudiante à la Maîtrise en études littéraires - avec mémoire
Émilie Gobeil-Roberge
De retour aux études après plusieurs années sur le marché du travail, j'effectue actuellement une maîtrise avec mémoire en traduction et terminologie. Plus particulièrement, je m'intéresse à l'apport pédagogique des stages pour la formation universitaire des étudiants de premier cycle en traduction.
Superviseure de stage depuis plusieurs années, j'ai constaté qu'il me manquait des outils pour offrir à mes stagiaires le meilleur de moi-même et de leur expérience en stage. Mon étude me permettra de déterminer comment les accompagner pour maximiser l'apport pédagogique de leur séjour dans mon entreprise. À mon humble avis, d'autres entreprises accueillant des stagiaires pourront aussi profiter des résultats de ma recherche.
Cette bourse me permettra de me concentrer sur la rédaction de mon mémoire, que je déposerai d'ici la fin de l'été. Comme je suis maman, entrepreneure et étudiante à temps plein et que j'offrirai (de façon bénévole) des stages à 5 étudiants cet été, un petit coup de pouce n'est pas de refus! Merci aux généreux donateurs de me donner la possibilité de me concentrer sur mon mémoire pour les mois à venir.
Étudiante à la Maîtrise en traduction et terminologie
Lara Kanso
Je m'appelle Lara Kanso, je suis d'origine libanaise. Je suis passionnée d'art, de littérature et de théâtre. Je travaille dans le monde de la mise en scène à Beyrouth depuis 2014, année à laquelle j'ai décidé d'entamer un master en théâtre. Le besoin d'aller plus loin, de découvrir des horizons autres, d'approfondir mes connaissances et de m'ouvrir à de nouvelles dimensions artistiques m'a poussée à présenter une candidature à l'Université Laval pour un doctorat en "Littérature, arts de la scène et de l'écran".
L'obtention de la "La Bourse d'excellence du département de littérature, théâtre et cinéma" me conforte dans mon choix de projet de recherche-création, né finalement d'un chemin de vie et d'une grande admiration pour l'œuvre de Marguerite Yourcenar. Cette bourse me donne aussi la chance de poursuivre le chemin de la recherche et de la création avec plus d'assurance, plus de confiance: je sais désormais que mon projet de recherche-création est comme "béni" d'avance. Cette bourse rajoute également une valeur sûre à mon dossier d'étudiante et de chercheuse. Cette bourse allège, enfin, sur le plan financier, les soucis du quotidien et me permet de me consacrer plus tranquillement au travail. Je terminerai ces quelques lignes en rajoutant, qu'après les événements tragiques de Beyrouth du mois d'août 2020, cette bourse m'a redonné de l'espoir.
Étudiante au Doctorat en littérature, arts de la scène et de l'écran
Marc-Olivier Lachance
Je m'appelle Marc-Olivier Lachance et j'ai 20 ans. Je réside présentement à Vallée-Jonction, en Beauce. Dans mon temps libre, j'apprends plusieurs langues étrangères. Dès que la situation le permettra, j'aimerais voyager à nouveau, car je trouve cela important d'avoir une bonne ouverture d'esprit. Je m'intéresse beaucoup aux autres cultures et à l'apprentissage des langues étrangères. Grâce à cette bourse, je pourrai accomplir ce bel objectif et cela m'aidera également à financer le reste de mes études universitaires.
Étudiant au Baccalauréat intégré en études internationales et langues modernes
Amélie Lantagne Mercier
Je suis une étudiante à la maîtrise en études littéraires et j’ai aussi préalablement fait mon baccalauréat et mon diplôme d’études collégial dans le même domaine. J’ai toujours été passionnée par la littérature et par l’ampleur des réflexions qu’offre cette discipline. De plus, je suis une personne qui accorde beaucoup d'importance à ses résultats scolaires. La bourse m'a donc donné la possibilité de me concentrer davantage sur mes études et sur ma recherche, me permettant du même coup de recevoir d’autres prix pour la qualité de mes travaux, entre autres le prix Jacques Mathieu, décerné dans le cadre du séminaire étudiant de la CEFAN. Mon objectif serait de continuer mes études au 3e cycle. Des bourses de ce type me permettent ainsi de bonifier mon curriculum vitae à long terme.
Étudiante à la Maîtrise en études littéraires - avec mémoire
Nicolas Leroux
Je suis un étudiant de deuxième cycle en biologie et mes intérêts de recherche visent en la compréhension de mécanismes évolutifs et écophysiologiques complexes en me servant de poissons comme modèles d’étude. De par son incroyable diversité et sa complexité, l’Amazone brésilien est le milieu parfait afin d’effectuer mes recherches. En ce sens, je vogue sur les grands fleuves tropicaux afin de démystifier les interactions fondamentales que les poissons maintiennent avec leur environnement, leur microbiote (les bactéries qui vivent sur les poissons) et leurs parasites.
Puisque le Brésil est un pays lusophone, la réussite de mes objectifs professionnels nécessite que je maîtrise le portugais. En effet, je travaille fort afin de développer mon vocabulaire et maximiser ma vitesse d’apprentissage de cette langue. La généreuse contribution de M. Vincent Carrier me permettra de réaliser un stage d’immersion de 3 mois en langue portugaise. Ce stage de recherche est une opportunité unique de parfaire mon apprentissage de cette langue dans un contexte professionnel et appliqué. De plus, ce stage me permettra de développer des contacts internationaux avec des chercheurs et étudiants brésiliens, favorisant la mise en place de collaborations internationales et m’offrant la possibilité de garder contact et pratiquer mon portugais sur le long terme
Étudiant à la Maîtrise en biologie et au Microprogramme en langue portugaise
Jessy Munger
Natif de Baie-Comeau, sur la Côte-Nord, je suis déménagé dans la belle ville de Québec il y a un peu plus de six ans. Après quelques détours, j’ai fait la rencontre du merveilleux univers de la linguistique à l’automne 2017, dans le cadre de mon baccalauréat en Sciences du langage. Je poursuis actuellement une maîtrise à l'Université Laval qui me permet de combiner deux de mes passions: la linguistique et l'informatique. La Bourse La Capitale me permet entre autres de me concentrer davantage sur mes études en allégeant le fardeau financier et d'investir dans des formations supplémentaires pour perfectionner mes aptitudes en informatique.
Étudiant à la Maîtrise en linguistique - avec mémoire
Amélie Nadeau
Je m'appelle Amélie Nadeau, étudiante au Baccalauréat en histoire de l’art et j'ai 22 ans. Je suis arrivée à Québec il y a 5 ans afin de débuter des études collégiales au Cégep Sainte-Foy et j'y vis, travaille et étudie depuis. Je suis native de Lac-Etchemin, dans la région des Etchemins. Tout d'abord, la réception de la bourse m'a amené beaucoup de gratification et m'a fait réaliser que les nombreux efforts que j'ai faits au courant de mes études universitaires ont porté ses fruits. La bourse me servira à entamer des études de deuxième cycle.
Étudiante au Baccalauréat en histoire de l'art
Narcisse Oloukou
Je suis Narcisse Oloukou, je suis originaire du Bénin, diplômé de l’Université Jean-Monnet de Lyon en France et de l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin. Faire le D.E.A. en plus de 3 ans sans pouvoir le soutenir m’a poussé hors de mon pays pour réussir mon Master en Études littéraires et culturelles en France. J’ai vécu, du primaire jusqu’à la fin de mon 1er cycle universitaire, dans des conditions difficiles. J’ai appris à me débrouiller tout seul et à travailler dur afin que mes rêves de devenir spécialiste de littérature générale comparée et enseignant à l’université puis entrepreneur dans le domaine agroalimentaire se réalisent un jour. Je suis très fier de l’obtention de cette bourse d’excellence. J’ai toujours aimé les grandeurs et le défi. Je me suis battu contre une multitude de contingences pour arriver à ce niveau. Étudier au Canada est pour moi un challenge que je réussis à la petite semaine. J’ai compris avec l’obtention de cette bourse que les obstacles n'annihilent pas les qualités. La bourse m’a permis d’avoir un argument important pour l’obtention d’autres bourse et subventions. Elle m’a permis d’acquérir des ouvrages très utiles pour ma formation et aussi pour payer une partie de mes abonnements à des revues scientifiques. Cette bourse a affermi mon enthousiasme à la recherche tout en me donnant l'assurance que je peux mieux faire.
Étudiant à la Maîtrise en études littéraires avec mémoire
Maude Paradis
J'ai entrepris un baccalauréat en études littéraires à l'Université Laval par amour de la langue française et de la création littéraire. La valeur symbolique de la bourse Jean-Sebastien-Pontbriand est inestimable à mes yeux: je suis fortement encouragée à continuer ma démarche d'écriture et à terminer le recueil de poésie ayant fait l'objet de cette bourse. Venant du milieu de l'art lyrique, j'ai douté à maintes reprises de mon choix de mettre sur glace mes activités musicales pour favoriser mon apprentissage de la littérature, mais j'ai maintenant la conviction d'avoir suivi la bonne voie. Merci pour cette précieuse validation et ce soutien financier qui contribue à la poursuite de mes études universitaires.
Étudiante au Baccalauréat en études littéraires
Matthieu Perrotin
Je suis un étudiant français venu étudier au Québec il y a maintenant presque trois ans. J'ai passé trois belles années dans cette province, au sein d'une université qui m'a permis à la fois de grandir et de m'ouvrir à de nouveaux horizons.
L'obtention de cette bourse symbolise pour moi la reconnaissance de mon travail. Ainsi, je tiens à remercier le comité de sélection pour cette attribution qui m'encourage à poursuivre mes efforts dans l'apprentissage de la langue anglaise dont mes perspectives professionnelles en dépendent très largement. Cette bourse me permettra de financer une partie de mes études, soit le dernier cours de mon programme, ce qui clôt alors d'une belle façon mon parcours au baccalauréat en science politique.
Étudiant au Baccalauréat en sciences politiques
Mélissa C Pettigrew
Mon parcours atypique a souvent semé le doute dans mon esprit de créatrice. Ayant œuvré pendant dix ans dans le milieu agroalimentaire en recherche et développement, ce n’est qu’en 2019 que je me suis inscrite à temps complet au certificat en création littéraire dans le cadre d’un Baccalauréat multidisciplinaire. Il va sans dire que cette période de changements m’a fait vivre de nombreux remous intérieurs. Mais, lorsqu’apparaissent de petites lucioles telles que la Bourse Jean-Sébastien-Pontbriand (création), cela a pour effet de renforcer la créatrice que je suis. Je parle de création au sens large puisque ma pratique est pluridisciplinaire. Mon intérêt pour les arts visuels (peinture, photographie, sculpture) s'affirme de la même manière que ma passion pour la littérature. Au terme de mes études au premier cycle, je vise à poursuivre à la Maîtrise en lettres, concentration études littéraires. Certes, la valeur monétaire de cette bourse m'est utile à la poursuite de mes études, mais c'est avant tout une reconnaissance qui me touche et me conforte dans mon souhait de me développer en tant qu'autrice.
Mon avenir sera fait de création littéraire, car c'est elle qui m’apprend l’introspection et l’humilité, me rappelant la préciosité de la solitude et de l’ouverture vers autrui.
La création comme un jardin nuancé et complexe que j’entretiens avec délicatesse.
Étudiante au Baccalauréat en études et pratiques littéraires
Olivier Pilette
Mes recherches en archéologie portent sur l’histoire ancienne du Subarctique, dans l’espace laurentien entre la vallée de la rivière des Outaouais et la Haute-Maurice. Je m’intéresse à la mobilité et aux interactions sociales des communautés qui ont anciennement utilisé le territoire, bien avant et jusqu’à l’arrivée des Européens. Un intérêt particulier est accordé aux réseaux hydrographiques — les rivières Gatineau, du Lièvre, Rouge et Petite-Nation — en tant que vecteurs potentiels de déplacement et de sociabilité. Mes recherches utilisent une méthode de type analyse des réseaux sociaux qui elle-même s’appuie sur la circulation et la variabilité des matières premières utilisées pour la fabrication d’outils en pierre taillée. Ceci devrait permettre de comprendre où, pourquoi et comment des groupes ont fréquenté certains espaces plutôt que d’autres. Une hypothèse intéressante est celle de la « route du nord », trajectoire de circulation des humains et, par conséquent, des objets à travers les forêts et rivières de l’espace laurentien, entre la Huronie (Baie Georgienne) et le lac Saint-Jean. J’estime que les réseaux hydrographiques laurentiens ont pu contribuer à cette route en tant que vecteurs de déplacement et de sociabilité.
La Bourse Saint-Antoine me permet de poursuivre à temps plein l’étude d’outils en pierre taillée et leurs matières premières provenant d’une exceptionnelle collection archéologique récoltée à la rivière du Lièvre. Il est envisagé de constituer une lithothèque, outil d’une grande utilité qui pourra permettre aux chercheurs futurs de comparer et identifier plus facilement les matières premières lithiques utilisées régionalement. Un objectif scientifique et culturel à moyen et long terme est que l’étude de cette collection permette de mieux comprendre le rôle de la région des Laurentides dans la grande histoire ancienne du Subarctique québécois.
Étudiant à la Maîtrise en archéologie avec mémoire
Alexandre Prince
Lorsque je suis arrivé (en retard) dans mon tout premier cours d'italien, j'étais loin de m'imaginer que deux ans plus tard, je pourrais lire et parler cette langue couramment. La réception de la bourse Hélène-Couture représente l'aboutissement d'un travail acharné et d'une passion naissante pour la langue de Dante, qui constitue désormais une pierre angulaire de mes études supérieures. Ce montant d'argent est bien peu comparativement à toute la richesse des savoirs et des avoirs que j'ai acquis en apprenant cette langue. Cela dit, comme le développement personnel ne paie pas les factures, je suis tout de même ravi de pouvoir l'encaisser.
Étudiant au Baccalauréat en histoire
Stan Sorin
Pendant onze ans, en tant que lecteur Wallonie-Bruxelles International, j'ai enseigné le français et les littératures francophones au sein des Universités de Pécs (Hongrie) et de Zagreb (Croatie). J'y a codirigé deux ouvrages : "Itinéraires francophones" ainsi qu’un numéro de la revue croate "Knijževna Smotra" (Magazin littéraire) intitulé « Interroger/écrire l’identité : la littérature belge francophone ». Je rédige actuellement à l’Université Laval une thèse sur la « remise en h/Histoire » chez quatre auteurs fondateurs des francophonies littéraires : De Coster, Ramuz, Césaire et Kateb. Je suis par ailleurs collaborateur externe des Archives et Musée de la Littérature (Bruxelles) et secrétaire de l’Association Européenne d’Etudes Francophones.
La Bourse Hector de Saint-Denys-Garneau (volet création) signifie beaucoup pour moi. Outre l'encouragement qu’elle représente à poursuivre mon chemin d’écriture, elle me permet d'aborder avec sérénité les aspects financiers liés au projet de publication du recueil dont le long poème « Dégueloir » que vous avez bien voulu récompenser constitue la première partie. "13 anges de basse-cour et quelques noms d'oiseau" paraîtra très prochainement chez L’Harmattan. Aux confins du langage métaphorique et de la fiction, le recueil explore le pouvoir de l’insulte, cet outil à dompter l’étrangeté de l’Autre. Ce faisant, il interroge la nature poétique des mendiants et thématise la mendicité à laquelle est réduit de nos jours tout poète en quête d’éditeur et de public.
Étudiant au Doctorat en études littéraires
Angelica Stergiopoulos
Étudiante à l’Université Laval depuis bientôt cinq ans, j’ai entrepris la maîtrise en traduction et terminologie à l’automne 2019, quelques mois après l’obtention de mon baccalauréat en études littéraires. Ainsi, cela fait déjà plusieurs années que j’ai découvert ma passion pour les lettres. La traduction a été une manière pour moi de parfaire mon apprentissage des langues française et anglaise dans l’objectif d’en faire une carrière. Je souhaite contribuer aux échanges linguistiques entre les cultures francophone et anglophone du Québec et du Canada, tout en travaillant dans un milieu qui assouvi ma soif d’apprendre. En effet, tout traducteur a l’immense privilège d’acquérir des connaissances tout au long de sa carrière et de redonner à sa communauté. Les séminaires que j’ai suivi au cours de ma maîtrise m’ont permis de me préparer à faire cela par la mise en pratique d’une méthode de travail rigoureuse. Je tiens donc à vous exprimer ma reconnaissance pour la bourse d’excellence du Département de langues, linguistique et rédaction (maîtrise avec essai) qui m’a été attribuée le 14 avril 2021. Cette bourse servira à alimenter mon compte d’épargnes et sera pour moi le signe que toute passion mérite d’être suivie.
Étudiante à la maîtrise en traduction et terminologie
Lisa Vermaut
Étudiante au Certificat en langue et cultures du monde arabe et au Baccalauréat en Affaires Publiques et Relations Internationales, je prévois maintenant me tourner vers une maitrise en Sécurité Internationale.
Passionnée par les langues, les relations internationales et les différentes cultures en général, je suis heureuse d’avoir pu bénéficier de cette bourse pour prévoir un voyage notamment au Maghreb. Ce voyage me permettra en effet de pouvoir concrétiser mes acquis et mes connaissances et sera pour moi une opportunité d’en apprendre davantage, et ce sur le terrain.
Je tiens largement à remercier l’École des langues, mais également ma professeure, Madame Benkhouya, pour l’apprentissage qui m’a été offert, mais également pour leur soutien.
Étudiante au Certificat en langue et cultures du monde arabe et au
Baccalauréat en affaires publiques et relations internationales
Juline Vogel
Je m'appelle Juline Vogel, je suis étudiante en Maîtrise en communication publique - relations publiques. Je suis très fière d'avoir obtenu le Prix d’excellence de Maîtrise en Communication publique et je souhaite féliciter tout·e·s les autres lauréat·e·s ! Grâce à ce prix, j'ai pu rentrer voir mes proches en France pour les fêtes de fin d'année et me ressourcer pour entreprendre la session d'hiver : ce fût la plus belle des récompenses.
Étudiante à la Maîtrise en communication publique