Facteurs humains, l'infolettre - Mars 2023

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Département d’information et de communication, Université Laval

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Facteurs humains, le balado - L’impact du numérique sur nos communications

L’impact du numérique sur nos communications

Facteurs humains, le balado vous présente: Guillaume Latzko-Toth, professeur et chercheur au Département et co-directeur du Laboratoire sur la communication et le numérique (LabCmo).

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Gestion des études - FLSH - ULaval

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Bienvenue au Département d’information et de communication

Au Département d’information et de communication, la recherche et l’expérience professionnelle se côtoient dans 3 secteurs de la communication publique: le journalisme, la publicité sociale ou les relations publiques. Une formation solide, des outils à la fine pointe de la technologie, un corps enseignant compétent, passionné et engagé, voilà ce qui vous attend si les différentes facettes de la communication médiatique à l’ère du multicanal et du multiplateforme vous attirent.

Étudier au 1er cycle

Acquérez une formation de journaliste, de publicitaire ou de relationniste et approfondissez votre culture générale.

Étudier aux 2e et 3e cycles

Approfondissez vos connaissances et développez une expertise dans un domaine particulier de la communication publique.

Concentrations

Le journalisme, la publicité sociale ou les relations publiques vous passionnent? Découvrez les 3 concentrations offertes au baccalauréat en communications publiques.

Stages en communication

Découvrez un programme de stage unique qui repose sur une relation personnalisée avec chaque stagiaire et chaque employeur.

Témoignages

Élodie Godbout, diplômée du baccalauréat en communication publique, concentration publicité sociale

Élodie Godbout

Diplômée du baccalauréat en communication publique, concentration publicité sociale

«Après quelques années à tenter de trouver ma voie au cégep, j’ai décidé de m’inscrire au baccalauréat en communication publique de l’Université Laval. Mon objectif étant de travailler en agence de communication, j’ai opté pour la concentration en publicité sociale. J’ai pu appliquer mes connaissances et en acquérir de nouvelles tout au long de mon parcours grâce à mes nombreuses implications étudiantes. Celles-ci m’ont aussi permis de tisser des liens uniques avec mes collègues. Lors de la dernière session de mon baccalauréat, j’ai eu l’opportunité d’intégrer le milieu passionnant des agences lors d’un stage chez Minimal. Mon parcours universitaire m’a définitivement permis de développer des aptitudes professionnelles qui me permettront de faire ma marque dans le vaste domaine des communications.»  

Sous-comité Pro Bono, composé d'étudiantes et d'étudiants au baccalauréat en communication publique

Sous-comité Pro Bono

Étudiantes et étudiants au baccalauréat en communication publique et Récipiendaires de la Bourse en communication-publicité sociale de Claude Cossette et Claude Lessard

«Nous sommes le sous-comité pro bono de l'agence-école Préambule Communication qui se compose de Marika Paquet, Sara Richard-Lapierre, Lilirose Brassard, Simon Tremblay, Mégan Montreuil, Romane Dutilleul, Justine Bilodeau, Liu T. Corriveau, Anne-Marie Savard, Nicolas Chiasson et Raphaël Ouellet. En plus de collaborer avec de réels clients sur de véritables mandats rémunérés, les membres de mon équipe font partie d’un sous-comité dans lequel ils ont le plaisir de travailler bénévolement pour un organisme à but non lucratif de leur choix. Touchés par les nombreux féminicides qui ont eu lieu au début de l’année 2021, nous avons décidé de venir en aide à la Fondation Jonction pour elle, qui soutient les femmes victimes de violence conjugale ainsi que leurs enfants. Nous avons donc réalisé la campagne publicitaire intitulée "les maux d'amour" pour sensibiliser les femmes victimes de violence conjugale et leurs proches au soutien offert par la fondation. Pour y parvenir, nous avons travaillé extrêmement fort afin de trouver un concept percutant mettant en lumière certaines formes de violences moins connues. Notre publicité vidéo et nos déclinaisons ont été diffusées lors de la soirée Chantons pour elles et sur les réseaux sociaux de l’organisme.»

Audrey-Maude Vézina, diplômée du baccalauréat en physique et étudiante à la maîtrise en journalisme international

Audrey-Maude Vézina

Diplômée du baccalauréat en physique et étudiante à la maîtrise en journalisme international, lauréate du grand prix de la bourse Fernand-Seguin 2018

«J’ai complété mon baccalauréat en physique à l’Université Laval, mais j’ai rapidement réalisé que je préférais partager la science plutôt que la faire. Durant mon baccalauréat, j’ai suivi le cours Introduction au journalisme écrit avec Thierry Watine. J’ai découvert une passion pour le journalisme scientifique. M. Watine et Jean-Marc Fleury, ancien titulaire de la Chaire de journalisme scientifique Bell Globemedia, m’ont encouragée à poursuivre le journalisme au cycle supérieur avec la maîtrise en journalisme international. J’ai suivi les 3 cours du Microprogramme de 2e cycle en communication et journalisme scientifiques. Ces derniers m’ont donné les compétences nécessaires pour rédiger un reportage sur le cancer du sein qui m’a valu le grand prix de la bourse Fernand-Séguin 2018. Mes études supérieures m’ont permis de m’épanouir comme journaliste scientifique.»

Élise Rousseau, diplômée du baccalauréat en communication publique

Élise Rousseau

Diplômée du baccalauréat en communication publique, stratège en communication numérique chez SPK

«Curieuse de nature et touche-à-tout, je ne pouvais pas m’imaginer faire le même travail toute ma vie. J’ai toujours aimé comprendre les gens pour mieux les représenter et les rassembler: c’est pour cette raison que j’ai choisi d’étudier en communication publique. Le baccalauréat m’a amenée à développer une vision stratégique qui m’est utile, peu importe la nature des défis et des mandats. De plus, la multitude d’occasions d’implications permet d’en ressortir avec une expérience concrète et de se démarquer sur le marché du travail. Dans mon cas, j’ai pu appliquer ce que j’apprenais dans les cours chez MC2 et à l’agence étudiante Préambule.»

Laura Rancourt, diplômée du baccalauréat en communication publique

Laura Rancourt

Diplômée du baccalauréat en communication publique, chargée de projet Web à l'Université Laval

«J’ai toujours été attirée par l’art, la culture et les langues. Après un passage au cégep en langues, j’ai décidé de choisir la communication afin de pouvoir conjuguer mes passions. J’ai choisi de faire le baccalauréat sans concentration, car j’aimais autant la publicité que le journalisme, et je ne savais pas encore dans quel domaine je me voyais travailler. J’ai alors pu prendre la moitié de mes cours à option en publicité et l’autre moitié en journalisme. Ce choix s’est avéré pertinent, car depuis ma diplomation, j’ai utilisé autant mes compétences en rédaction qu’en publicité. J’ai occupé des postes variés tels que conseillère en communication, chef de projet marketing, rédactrice Web et blogueuse. Si c’était à refaire, je ferais la même chose, car mon baccalauréat, jumelé à mon implication chez Préambule, m’a permis de me frayer un chemin sur le marché du travail rapidement et d’avoir une carrière passionnante!»

Vanessa Gouri, diplômée du baccalauréat en communication publique

Vanessa Gouri

Diplômée du baccalauréat en communication publique, chargée de projet chez CEFRIO

«Mon grand amour a toujours été la publicité. Encore aujourd’hui, je me surprends à avoir des émotions et à applaudir devant une excellente publicité. C’est pour cette raison que j’ai décidé de faire le baccalauréat en communication publique. Mes années d’études et mon expérience au sein de Préambule m’ont permis de développer des façons de travailler et de réfléchir qui me sont utiles au quotidien. J’ai appris à accorder une importance particulière à la première communication avec un client. Cet échange me permet de bien comprendre les besoins et gérer les attentes. Le baccalauréat m’a également sensibilisée à l’importance d’avoir des objectifs clairs et les mesurer une fois le projet terminé.»

Janie Perron, étudiante à la maîtrise en communication publique avec mémoire

Janie Perron

Étudiante à la maîtrise en communication publique avec mémoire et Récipiendaire de la Bourse AFDU Québec - Charlotte-Lapointe en communication/relations publiques

«Je suis une étudiante de 23 ans en 2e année d'études à la maîtrise en communication publique avec mémoire. Mon projet, qui sera déposé à la fin avril ou en mai, porte sur les valeurs véhiculées dans les discours des youtubeuses véganes. Dans les dernières années, les spécialistes de la recherche en études culturelles sur l'alimentation ont relevé que la popularisation du véganisme en ligne perpétue des idéaux féminins irréalistes à atteindre, marqués par la restriction alimentaire et le contrôle du corps et de l’appétit. C'est pourquoi je me suis précisément intéressée au contenu genré des youtubeuses véganes dans mon étude. La bourse Charlotte-Lapointe en communication/relations publiques de l'Association des femmes diplômées des universités de Québec (AFDU) me permettra de mener à terme mon mémoire et de commencer ma réflexion en lien avec ma thèse de doctorat, qui portera elle aussi sur le thème de la communication numérique aux femmes et par les femmes en matière d'alimentation. Je tiens à remercier l'AFDU de me soutenir et de croire en la pertinence et la nécessité de mon projet de recherche.»